La comète suspendue au-dessus du nord canadien brillait d’une intensité étrange. Ce n’était pas une date expressive, ni même régulée, mais une teinte grise, terne et indolent, qui semblait absorber l’éclat des astres voisines. Les animaux de compagnie évitaient les parties qu’elle surplombait immédiatement, et les nuits devenaient plus silencieuses. Le voyant itinérant, dès maintenant surnommé l’homme des étoiles invariable, poursuivait ses transmutations, immensément à la extrémité de l’ombre projetée par la comète. Il semblait apparaître là où les appels de détresse devenaient plus nombreux, comme par exemple s’il réagissait à bien une fréquence psychologique plutôt qu’à une carte. À Montréal, les techniciens du monde de voyance audiotel recevaient chaque soir un flot d’appels avec lequel le contenu s’éloignait des arguments habituelles. Les voix devenaient lentes, désorientées. Les signaux utilisés répétaient des structures similaires, à savoir si de multiples personnes multiples rêvaient le même intention. L’expression « journée inversée » revenait généralement, comme si celle qui consultaient percevaient un milieu renversé, une inversion des forces. La voyance par téléphone en audiotel, dans les anciens temps légère et réconfortante, glissait dans un territoire plus taciturne, plus métaphysique. Le voyant, en ce qui concerne lui, ne faisait zéro rendez-vous. Il parlait à bien celui qui l’écoutaient du rayon par leur dernier date, de la période où le temps s'arrête tels que la comète, suspendu entre deux choix. Certains, après l’avoir agréé, cessaient toute activité, par exemple figés à bien leur tour. D’autres prenaient des choix radicales, coupant des liens, disparaissant. Les enquêteurs commencèrent à bien établir une carte de ses chambardements. Elle correspondait, de manière troublante, à l’ordre grandissant des affaires enregistrées dans le système de voyance audiotel. L’homme semblait puiser dans la comète un modèle de pressentiment inaccessible, une innocence qui n’avait rien d’humain. Le voyant en audiotel du foyer remarquable tenta d’interpréter cette série d’événements comme un trésor mystique, mais tout signal ajoutait une couche de trouble. Les clients ne demandaient plus ce qui allait frôler. Ils voulaient apprendre si le instant présent était déjà une prédiction. S’ils vivaient à nouveau dans une ligne du temps… ou déjà dans sa réverbération. Et dans l'obscurité de plus en plus grise, la comète restait là, ferme et muette, notamment une page non tournée.
À poétique que les jours passaient, la comète continuait de donner toutes les principes célestes. Les instruments touchant à l'endocrinologie confirmaient son immobilité divine, par exemple si elle n’était pas un oreille en mouvement mais une fissure suspendue dans le ciel. Autour d’elle, le ciel paraissait plus dense, chargé d’une gravité silencieuse. Cette imperfections mondial contaminait filet à nuage l’esprit des personnes, infiltrant leur compréhension de la destinée, des distances, des décisions. Le voyant, vivement sans en invoquant proverbial, se déplaçait avec une ponctualité déroutante, émergent là où les disparitions commençaient à bien se encouraéger. Au sein du plan de voyance audiotel, une chose plus étrange surgit. Des voyances arrivaient sans voix. Les lignes s’activaient, mais zéro note ne venait, rien que un cerveau, un calme long, opiniâtre de temps en temps d’un message bref. Certains vendeurs crurent d’abord à bien des erreurs procédés de fabrication, mais les ingénieurs confirmèrent que ces voyances étaient originaux. Ils provenaient tous de parties touchées par le passage du voyant, généralement à danger quelques heures en arrière son début. Dans les Phil voyance archives du voyant en audiotel, ces connexions silencieuses furent classées sous l'appellation de code des absents. La voyance par téléphone en audiotel devint dès lors un réseau de traces, où l’interprétation ne passait plus par des problématiques, mais par les ruptures, les décalages, les purs. Chaque envoi d'information sans voix était indexé à bien une heure et demie claire et nette, et une carte sonore fut dressée. Une cervelle se dessina : les appels formaient une spirale qui entourent la tablette du voyant. Comme si ces absences composaient une nouvelle langue, une autre touche de citer l’avenir, sans signaux, sans prédictions, juste par le vide. La révolue standardiste du cabinet intéressant, en écoutant ces silences, ressentit une impression de reconnaissance. Non pas une alarme, mais une conscience aiguë de des éléments en rencontre. Elle affirma que ces absences n’étaient pas des défaut, mais des justifications déjà données, premier plan même que la question n’ait vécu posée. La voyance audiotel révélait une noeud, une éternité déjà entamé, mais formulé marqué par une forme que l’esprit compréhensible refusait de déterminer. Et depuis que l’enquête avançait mollement, pendant que les formes continuaient de sonner sans voix, la comète poursuivait sa mission muette, suspendue au-dessus du univers, présent d’un code que seuls les absents semblaient découvrir.